J'ai trouvé intéressant l'agencement des chambres chez Madame Aubain. La chambre de Madame, qui est sur le premier étage, avait le portrait de son mari mort ≪en costume de muscadin≫ et disparaissait en bas un couloir plein de ≪souvenirs d'un temps meilleur et d'un luxe évanoui.≫ Essentiellement, la description de la chambre de Madame Aubain montre qu'elle est fixé sur le passé et elle ne peut pas passer à la futur. Contrairement, Félicité, qui a ≪une lucarne au second étage≫ a une vue ≪sur les prairies.≫ Elle voit, littéralement ainsi que métaphoriquement, toujours vers la distance, qui peut symboliser elle voit toujours vers l'avenir et ce installe un contraste entre les deux personages.
Il est ironique que « Félicité » c'est le nom de la protagoniste mais en fait, sa vie est tout le contraire. Son amant (pas vraiment) l'a quitté pour quelqu'un autre après qu'il ait essayé de la violer, son neuve mourut, et elle vive comme une esclave essentiellement.
Peut-être dans les derniers chapitres il y aura des bonnes choses pour Félicité pauvre, ou je pense que, l'ironie, c'est un thème de l'histoire.
Un moment que j’ai trouvé intéressant dans « Un cœur simple » de Flaubert était la scène entre le taureau et Félicité. Dans cette scène, le taureau surprend Mme Aubain et ses enfants, et commence à les chasser. Au lieu de rester immobile face au taureau, « Félicité se retourna, et elle arrachait à deux mains des plaques de terre qu’elle lui jetait dans les yeux. » C’est curieux que Félicité risque tant sa vie pour une femme qui n’est pas très aimable mais je pense que Flaubert a décrit cette scène pour illustrer la pureté de Félicité. Il est aussi possible que Félicité ait risqué sa vie non pas pour Mme Aubain, mais pour les enfants. Cela donc soulignerait l’idée que Félicite ait traitée les enfants de Mme Aubain comme les siennes. Flaubert utilise des moments comme cela pour signifier à quel point Félicité est d’une gentillesse pure.
J'ai trouvé la scène quand Victor quitte pour Cuba, La Havane très intéressant. Felicite essaie de le voir partir et fait juste de le voir partir. Quand elle rentre à la maison, elle essaie de sympathiser avec M. Aubain parce que Viriginie est parti pour l'école. Cela dit, M. Aubain dit que sa douleur est supérieure à celle de Félicité et qu'il ne soit pas la même chose. Flaubert décrit, <>. Il est une émotion humaine à sympathiser avec un autre humain dans un temps de détresse; cependant, M. Aubain ne les (les enfants) voient pas comme des égaux. La question de la classe et la mentalité bourgeoise est illustré dans ce passage et on peut voir la critique de la bourgeoisie par Flaubert.
J'aime beaucoup le petit moment où le narrateur parle de retour des barques et comment c'était un divertissement pour Félicité. La scène est remplis de jolies imageries avec les voiles, les vagues, la misaine qui rassemble un ballon, etc. Tout dans la scène indique là bonheur avec une abondance de choses et la réunion des familles. Je le trouve une juxtaposition intéressante avec la situation de Félicité qui voit tout ça en vivant une vie qui est totalement contraire à tout qui se passe autour d'elle.
Je trouve le moment quand Félicité défend la famille Aubain du taureau. Je choisi ce moment parce que je crois qu'il y a beaucoup de messages nous pouvons analyser. Premièrement, je pense que ce moment nous montre comment Félicité est courageuse et comment elle se soucie de la famille etc., mais plus que cela, je crois que ce moment est une métaphore pour l'exploitation de la classe inférieur par la bourgeoisie. Si les gens, comme Félicité, croit qu'ils doivent aider les puissants, puis il y a société avec une grande déception. Les gens croient qu'ils ne sont pas égaux et par conséquent, ils acceptent l'inégalité et ils deviennent objectivé dans la société.
La différence du point de vue pour autre personne entre la maîtresse et la servante est intéressante. Pour Madame Aubain,"ses façons étant d'une hauteur qui éloignait". Quand Félicité fait mention de son neveu, Victor, Madame Aubain dit c'est "une mousse, un gueux". Elle exprime seulement son sentiment sincère pour sa fille Virginie. Son désespoir est illimité. C'est un contraste frappant. Mais quand Victor et Virginie sont morts, Félicité est triste. L'enfant de la maîtresse, Virginie, est considéré comme un membre de sa famille. La différence forte montre la bonté de Félicité. En même temps, Madame Aubain est égoïste.
Je trouve le moment où Félicité s’arrête le taureau d’attaquer Mme Aubain et ses enfants très intéressant. Premièrement, je pense que cette scène montre la différence entre les deux classes sociales selon leurs réponses à la situation. Les Aubain se cachent quand le taureau les chasse. Ils pensent qu’il est le responsabilisé de quelqu’un d’autre de les protéger. Par contre, Félicité reste en face à face avec le taureau et elle utilise son expérience avec les animaux de ferme pour sauver les Aubain et elle-même. Je trouve aussi sa réaction de son héroïsme tres intéressent. Elle ne savoure pas les louanges que tout le village lui donne. Elle ne semble pas à comprendre ce qu’elle a fait était tres courageux. Elle simplement a fait ce qui était nécessaire à ce moment. C’est aussi un exemple de sa classe. Flaubert nous montre qu’elle n’est pas comme les bourgeoise à cause de ses pensés simples.
J'ai trouvé le moment quand Felicité et Mme Aubain ont nettoyé l'armoire intéressant parce que ce moment est le seul où le deux a été égale. C'est intéressant parce que juste avant ce moment, il y avait un grand contraste entre le deux avec la façon dont elles ont pu pleurer. Mme Aubain restait dans sa chambre tous le temps et Felicité devait travailler et aider Mme Aubain avec la mort de sa fille qui Felicité a aussi pleuré en plus de la mort de son neveu. Cependant, à ce moment quand le deux a pleuré Virginie, Mme Aubain a finalement sympathisé avec Felicité et à cause de leur douleur, elles ont été égalisée pour ce petit moment.
Je ne trouve pas un seul instant de la vie de Felicité ne pas être intéressant. Je pense que sa vie est remplie avec les deux moments de bonheur et de tristesse, mais elle continue avec un cœur plein. Les moments où elle perd l'amour, comme Théodore, Victor, et Virginie, est rempli avec une nouvelle et éternelle amour. Au début du chapitre 3, je pensais à Felicité comme un saint pour cette raison, et pour être courageux, et authentique. Elle a vécu une petite et paisible vie, et elle ne demandait rien en retour. Je pense que ce que je trouve le plus intéressant.
Je trouve les scènes d'ouverture du troisième chapitre très intéressant. Flaubert écrit de la Félicité et sa foi. Comme la Félicité jamais avait vraiment une éducation, elle commence à se fermer au loquet sur l'éducation religieux et elle devient très dévote. Quand Virginie reçoit sa communion, la Félicité devient débordée avec l'émotion. Quand Flaubert écrit que la Félicité s'est presque évanouie, il souligne la pureté de la Félicité et sa foi. Le fait qu'elle trouve une religion plus profonde par Virginie est aussi significative—Félicité est loyal envers la famille de Mme Aubin et envers Dieu. Il est presque comme si la famille a autant de puissance sur le destin de la Félicité que Dieu Lui-même.
Je trouve le scene avec le taureau tres intéressante parce qu'il démontre la ingéniosité et courage de Felicite. Sans Felicite, Madame Aubain et les autres seraient piétinée dans le terre. Cette scene démontre aussi comment Felicite, et tous son experience avec des animaux, est nécessaire a la famille. Ils ne réalisent pas la valeur de Felicite comme un emploi et un personne. Elle est quelqu'un qui t'aiderais au détriment de sa propre sécurité sans doute dans l'esprit.
Je trouve la scène où la maison est décrit, être le plus internant. D’abord, je pense que la description de la maison est très spécifique et détaille. La maison est belle, mais Madame Aubain est seul… elle ne l’apprécié pas. La maison est plein avec beaucoup de choses chères, des choses luxueux, et il y a beaucoup de chambres. Mais il n’y a pas une famille, des autres gens qui habitent là. La maison est vide dans ce sens, comme le cœur et la vie de Madame Aubain. Il n’y a pas quelque chose d’importance, seulement les choses superficiels.
J'ai trouvé intéressant l'agencement des chambres chez Madame Aubain. La chambre de Madame, qui est sur le premier étage, avait le portrait de son mari mort ≪en costume de muscadin≫ et disparaissait en bas un couloir plein de ≪souvenirs d'un temps meilleur et d'un luxe évanoui.≫ Essentiellement, la description de la chambre de Madame Aubain montre qu'elle est fixé sur le passé et elle ne peut pas passer à la futur. Contrairement, Félicité, qui a ≪une lucarne au second étage≫ a une vue ≪sur les prairies.≫ Elle voit, littéralement ainsi que métaphoriquement, toujours vers la distance, qui peut symboliser elle voit toujours vers l'avenir et ce installe un contraste entre les deux personages.
RépondreSupprimerAarti S. Badami
Il est ironique que « Félicité » c'est le nom de la protagoniste mais en fait, sa vie est tout le contraire. Son amant (pas vraiment) l'a quitté pour quelqu'un autre après qu'il ait essayé de la violer, son neuve mourut, et elle vive comme une esclave essentiellement.
RépondreSupprimerPeut-être dans les derniers chapitres il y aura des bonnes choses pour Félicité pauvre, ou je pense que, l'ironie, c'est un thème de l'histoire.
-John Lee
Un moment que j’ai trouvé intéressant dans « Un cœur simple » de Flaubert était la scène entre le taureau et Félicité. Dans cette scène, le taureau surprend Mme Aubain et ses enfants, et commence à les chasser. Au lieu de rester immobile face au taureau, « Félicité se retourna, et elle arrachait à deux mains des plaques de terre qu’elle lui jetait dans les yeux. » C’est curieux que Félicité risque tant sa vie pour une femme qui n’est pas très aimable mais je pense que Flaubert a décrit cette scène pour illustrer la pureté de Félicité. Il est aussi possible que Félicité ait risqué sa vie non pas pour Mme Aubain, mais pour les enfants. Cela donc soulignerait l’idée que Félicite ait traitée les enfants de Mme Aubain comme les siennes. Flaubert utilise des moments comme cela pour signifier à quel point Félicité est d’une gentillesse pure.
RépondreSupprimerEstelle Cervantes
J'ai trouvé la scène quand Victor quitte pour Cuba, La Havane très intéressant. Felicite essaie de le voir partir et fait juste de le voir partir. Quand elle rentre à la maison, elle essaie de sympathiser avec M. Aubain parce que Viriginie est parti pour l'école. Cela dit, M. Aubain dit que sa douleur est supérieure à celle de Félicité et qu'il ne soit pas la même chose. Flaubert décrit, <>. Il est une émotion humaine à sympathiser avec un autre humain dans un temps de détresse; cependant, M. Aubain ne les (les enfants) voient pas comme des égaux. La question de la classe et la mentalité bourgeoise est illustré dans ce passage et on peut voir la critique de la bourgeoisie par Flaubert.
RépondreSupprimer- Yanni
J'aime beaucoup le petit moment où le narrateur parle de retour des barques et comment c'était un divertissement pour Félicité. La scène est remplis de jolies imageries avec les voiles, les vagues, la misaine qui rassemble un ballon, etc. Tout dans la scène indique là bonheur avec une abondance de choses et la réunion des familles. Je le trouve une juxtaposition intéressante avec la situation de Félicité qui voit tout ça en vivant une vie qui est totalement contraire à tout qui se passe autour d'elle.
RépondreSupprimerPriyanka Bhatt
Je trouve le moment quand Félicité défend la famille Aubain du taureau. Je choisi ce moment parce que je crois qu'il y a beaucoup de messages nous pouvons analyser. Premièrement, je pense que ce moment nous montre comment Félicité est courageuse et comment elle se soucie de la famille etc., mais plus que cela, je crois que ce moment est une métaphore pour l'exploitation de la classe inférieur par la bourgeoisie. Si les gens, comme Félicité, croit qu'ils doivent aider les puissants, puis il y a société avec une grande déception. Les gens croient qu'ils ne sont pas égaux et par conséquent, ils acceptent l'inégalité et ils deviennent objectivé dans la société.
RépondreSupprimerLa différence du point de vue pour autre personne entre la maîtresse et la servante est intéressante. Pour Madame Aubain,"ses façons étant d'une hauteur qui éloignait". Quand Félicité fait mention de son neveu, Victor, Madame Aubain dit c'est "une mousse, un gueux". Elle exprime seulement son sentiment sincère pour sa fille Virginie. Son désespoir est illimité. C'est un contraste frappant. Mais quand Victor et Virginie sont morts, Félicité est triste. L'enfant de la maîtresse, Virginie, est considéré comme un membre de sa famille. La différence forte montre la bonté de Félicité. En même temps, Madame Aubain est égoïste.
RépondreSupprimerRowena
Je trouve le moment où Félicité s’arrête le taureau d’attaquer Mme Aubain et ses enfants très intéressant. Premièrement, je pense que cette scène montre la différence entre les deux classes sociales selon leurs réponses à la situation. Les Aubain se cachent quand le taureau les chasse. Ils pensent qu’il est le responsabilisé de quelqu’un d’autre de les protéger. Par contre, Félicité reste en face à face avec le taureau et elle utilise son expérience avec les animaux de ferme pour sauver les Aubain et elle-même. Je trouve aussi sa réaction de son héroïsme tres intéressent. Elle ne savoure pas les louanges que tout le village lui donne. Elle ne semble pas à comprendre ce qu’elle a fait était tres courageux. Elle simplement a fait ce qui était nécessaire à ce moment. C’est aussi un exemple de sa classe. Flaubert nous montre qu’elle n’est pas comme les bourgeoise à cause de ses pensés simples.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé le moment quand Felicité et Mme Aubain ont nettoyé l'armoire intéressant parce que ce moment est le seul où le deux a été égale. C'est intéressant parce que juste avant ce moment, il y avait un grand contraste entre le deux avec la façon dont elles ont pu pleurer. Mme Aubain restait dans sa chambre tous le temps et Felicité devait travailler et aider Mme Aubain avec la mort de sa fille qui Felicité a aussi pleuré en plus de la mort de son neveu. Cependant, à ce moment quand le deux a pleuré Virginie, Mme Aubain a finalement sympathisé avec Felicité et à cause de leur douleur, elles ont été égalisée pour ce petit moment.
RépondreSupprimerJe ne trouve pas un seul instant de la vie de Felicité ne pas être intéressant. Je pense que sa vie est remplie avec les deux moments de bonheur et de tristesse, mais elle continue avec un cœur plein. Les moments où elle perd l'amour, comme Théodore, Victor, et Virginie, est rempli avec une nouvelle et éternelle amour. Au début du chapitre 3, je pensais à Felicité comme un saint pour cette raison, et pour être courageux, et authentique. Elle a vécu une petite et paisible vie, et elle ne demandait rien en retour. Je pense que ce que je trouve le plus intéressant.
RépondreSupprimerJe trouve les scènes d'ouverture du troisième chapitre très intéressant. Flaubert écrit de la Félicité et sa foi. Comme la Félicité jamais avait vraiment une éducation, elle commence à se fermer au loquet sur l'éducation religieux et elle devient très dévote. Quand Virginie reçoit sa communion, la Félicité devient débordée avec l'émotion. Quand Flaubert écrit que la Félicité s'est presque évanouie, il souligne la pureté de la Félicité et sa foi. Le fait qu'elle trouve une religion plus profonde par Virginie est aussi significative—Félicité est loyal envers la famille de Mme Aubin et envers Dieu. Il est presque comme si la famille a autant de puissance sur le destin de la Félicité que Dieu Lui-même.
RépondreSupprimerJe trouve le scene avec le taureau tres intéressante parce qu'il démontre la ingéniosité et courage de Felicite. Sans Felicite, Madame Aubain et les autres seraient piétinée dans le terre. Cette scene démontre aussi comment Felicite, et tous son experience avec des animaux, est nécessaire a la famille. Ils ne réalisent pas la valeur de Felicite comme un emploi et un personne. Elle est quelqu'un qui t'aiderais au détriment de sa propre sécurité sans doute dans l'esprit.
RépondreSupprimerJe trouve la scène où la maison est décrit, être le plus internant. D’abord, je pense que la description de la maison est très spécifique et détaille. La maison est belle, mais Madame Aubain est seul… elle ne l’apprécié pas. La maison est plein avec beaucoup de choses chères, des choses luxueux, et il y a beaucoup de chambres. Mais il n’y a pas une famille, des autres gens qui habitent là. La maison est vide dans ce sens, comme le cœur et la vie de Madame Aubain. Il n’y a pas quelque chose d’importance, seulement les choses superficiels.
RépondreSupprimer- Matthew Massey