Quelles sont les idées de Rousseau (sur le bonheur, la nature, le passage du temps, l'imagination etc.) ici dans "La première promenade" que vous avez appréciées / pas appréciées et pourquoi?
J'aime bien le fait que Rousseau relie le tourisme à la pureté d'une 'île. Il dit que "Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève" grâce à leur manque des structures synthétiques et leur manque des touristes. Je comprends d'où Rousseau vient quand il insinue que "les voyageurs" sont ceux qui détruisent la nature de l'île, volontairement ou par accident. En termes d'argent, c'est très avantageux pour une île d'avoir beaucoup de touristes chaque année; mais il faut que l'île ait la bonne équipement de base pour attirer les touristes, comme "de grandes routes commodes pour les voitures" et "de villes et de maisons," tous les choses que Rousseau déteste.
Dans ce texte, Rousseau joue avec les mots pour inciter des sentiments différents dans les esprits des lecteurs. Il donne de petits impressions mais il ne révèle pas la vérité complètement. Il parle de ses expériences et ses rêves, mais on ne sait pas si les évènements sont vrai où ils sont passés dans sa tête. Cela nous donne un aperçu de ce qu'il passe dans sa tête, un sens de son expérience de sa vie. J'aime les idées dans le dernière paragraphe à page 2 où il devient un peu plus philosophique et spirituel. Il met l'accent sur la distinction dans les expériences du corps et de l'âme. J'aime beaucoup l'idée que parfois le corps peut limiter l'expérience humaine, qui peut être explorée par l'esprit.
Je crois que l'element le plus intéressant dans "La première promenade" est la fascination avec lequel Rousseau discute l'idée d'être seul. Il announce sur la premiere phrase que "Me voici donc seul sur la terre." il est evident qu'il y quelque chose très significant pour Rousseau dans séparation de l'humanité. Il dit aussi que "Tout est fini pour moi sur la terre." Je pense il est un peu bizarre qu'il y a moments dans la texte lequel Rousseau sa joie en l'absence d'autres mais il y a aussi moments, comme ça, dans lequel il exprime lamentation vers ce même fait.
Je trouve la façon que Rousseau écrit de son âme pour être très intéressant. Dans ses mots, son âme vit sur malgré l'inactivité de son corps physique. "Mais dans ce désœuvrement du corps mon âme est encore active, elle produit encore des sentiments, des pensées, et sa vie interne et morale semble encore s'être accrue par la mort de tout intérêt terrestre et temporel.” Ce sentiment me fait aussi la question si Rousseau est juste paresseux ou s'il veut dire quelque chose plus. Quelque peu je crois que le dicton que son âme peut rester active pendant que son corps reste immobile est simplement une excuse pour être paresseux. Quand Rousseau écrit qu'il veut se libérer de son corps inutile, le ton commence à changer. Nous constatons que Rousseau devient satisfait de soi et ce ton me force à plus loin n'être pas d'accord avec son point.
En lissant le texte de la « Première promenade » de Jean-Jacques Rousseau, il est nécessaire de noter le ton dont il présente ses pensées. Il est raisonnable de dédire qu’il y a des moments dépriment quand il se décrit comme étant « …un monstre, un empoisonneur, un assassin », mais je trouve qu’il essaye de présenter ces idées d’une façon différente. Rousseau décrit la façon dont il perçoit son existence parmi le peuple général et je pense que c’est avec cela qu’il essaye de comprendre la personne qu’il veut être. Malgré les critiques du peuple, Rousseau se sent plus fort à cause de cela quand il décrit que « [son] cœur s’est purifiée à la coupelle de l’adversité. » En générale, les idées de Rousseau peuvent avoir plusieurs tons et j’aime que je peux avoir une idée qui est différente qu’un autre lecteur.
J'ai apprécié l'idée que Roussequ trouve la tranquillité quand il est persécuté par les "directeurs" de sa destinée. Il dit que "on ne peut plus faire ni bien ni mal." Il n'est plus influencé par les détriments, mais il commence graduellement à ignorer ces détriments. Je pense que c'est parce qu'il est très seul, comme il dit que "je n'ai plus en ce monde n'ai prochain, ni semblables, ni frères." J'apprécie beaucoup de cette mentalité parce que c'est très différent entre les autres personnes, et cette très intelligent.
Je pense que le bonheur de Rousseau est sa séparation d'autres personnes. Ils utilisent les raffinements de leur haine à son âme. Il n'a peur d'eux. Rousseau contraste lui-même avec Dieu par la stratégie hyperbole. "Il ne me reste plus rien à espérer ni à craindre en ce monde et m'y voilà tranquille au fond de l'abîme, pauvre mortal infortuné, mais impassible comme Dieu même". Il dit ça pour souligner son calme. Il croit qu'il est seul et simple ici-bas. Il n'y a personne appartient à sa espèce. Il décrit beaucoup de sa mentalité, mais il n'y a pas de description de paysage.
Je trouve Rousseau un peu épuisant à lire parce que ses idées sont très lourdes à mon avis. Toutefois, je respecte et j'admire comment il pense différemment aux autres gens, et j'aime qu'il sait qu'il est différent: "J'oublierai mes malheurs, mes persécuteurs, mes opprobres, en songeant au prix qu'avait mérité mon coeur". Il accepte ce fait et je pense qu'il l'embrasse. Je le trouve un peu égoïste parce qu'il se compare à Dieu: "...mais impassible comme Dieu même". Mais alors, j'aime bien quand il parle de moments. Il décrit ses pensées si élégamment, par exemple: "A peine est-il dans nos plus vives jouissances un instant où le coeur puisse véritablement nous dire: Je voudrais que cet durât toujours". Tout à fait, je trouve Jean-Jaques Rousseau très intéressant, novateur et perspicace.
J'aime que Rousseau parle au sujet de sa passion pour le nature. Il y a beaucoup de choses qu'il n'aime pas dans le monde - la haine, les horreurs de la race humain, et de le persécution. Pour contre les effets négatifs, Rousseau écrit dans son journal et il march dans la nature, parce que c'est calme et très different que le monde ou les gens habitent. C'est intéressant parce que je suis l'opposé. Je préfère la compagnie des autres personnes, mais je déteste la nature, alors j'ai trouvé cette histoire être une nouvelle perspective.
Le première promenade de Rousseau était intéressante pour moi. Il aborde de nombreux sujets philosophique et artistique que m’intéresse. Ses idées sur le isolement et la aliénation démontre l'esprit de quelqu'un dont son paranoïa a complètement lui repris. Bien que je trouve son style très dramatique et de longue haleine, il présent un point de vue unique sur les sentiment de quelqu'un contrôlée par ses émotions négatif.
Ce que je trouve intéressant sur la première promenade et les autres promenades ainsi était la lutte interne. Il semble Rousseau est psychologiquement divisé. Il sent le monde est contre lui et utilise la rhétorique dramatique. Il estime que le monde se termine et qu'il se sent seul sur cette terre. Sa souffrance et la paranoïa semblent l'avoir consommé. D'autre part, comme la promenade progresse, il trouve les choses qu'il aime et la tranquillité du lac de Bienne. Il semble trouver un réconfort dans la nature loin de la civilisation et de l'inhabitation humaine. Par conséquent, je pense qu'il utilise cette marche comme un moyen de concilier les deux mondes. En d'autres termes, il essaie d'internaliser ses questions et d'équilibrer ses croyances et l'idéal avec humanité et la réalité. Il veut vivre dans un monde qu'il imagine; cependant, il en vient à accepter la réalité et se rend compte qu'il peut essayer de créer un petit morceau de son monde idéal à travers la nature et la solitude. Je trouve ses contradictions pas mal, mais il montre comment il n'est pas en train d'écrire une histoire. Il montre qu'il est en train d'écrire tout ce qui vient à l'esprit en premier, sans censure, sans réfléchir. Je l'ai trouvé exceptionnel et agréable à lire.
Dans Les Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau, je trouve qu’il est un homme très intéressant. Quand je pense à "promenade de la première", je pense à quelqu'un qui essaie de donner un sens d'un monde qui est peut-être pas pour leur temps. Les idées qu'il présente sont "taboo", et c'est pourquoi il est parti seul avec son imagination. J'adore la ligne, "Je allais me jeter seul dans un bateau que je conduisais au mileu du lac", parce qu'il parle d'être seul, même après l'île où il est seul. Donc est-il plus seul?
Je trouve “La Première Promenade” plein d’idées intéressantes et pertinentes. Cependant, je les trouve paradoxales. Rousseau explique en détail, « ses maux réels » mais dans le prochain paragraphe, il parle qu’il est « comme Dieu même.» Comment est-ce qu’on a des douleurs et aussi être un Dieu ? Une autre chose qui contredit soi-même est son assimilation de son tranquillité et de son âme. Selon de lui, par étant seul et par permettant son âme d’être libre, il peut trouve lui-même. Au même temps, il dit qu’il est seul a cause de ses persécuter qui sont réels, et pas un produit de son imagination. J’aime comment tous les paradoxes me forcer de penser plus attentivement des choses dont il parle.
Dans La Première Promenade, Rousseau semble désespéré quand il parle de l'état de son âme. Son affliction le force essayer d'analyser scientifiquement son existence comme il dit: «j'appliquerai le baromètre à mon âme, et ces opérations bien dirigées et longtemps répétées se pourraient fournir des résultats aussi sûrs les leurs». Je pense que c'est intéressant parce qu'il tente de trouver un method scientifique pour son introspection bien que l'âme n'est pas quelque chose tangible. Son âme n'est pas ce qu'il peut systématiser de la même façon qu'il systématiser tout le reste comme les gens. Cela montre qu'il est très systématique et qu'il a déjà analysé son situation beaucoup.
Au total, je crois que j’aimais “La Première Promenade” plus que l’autre. Je l’aime bien parce que, pour moi, c'était plus facile à lire mais aussi parce qu'il était beaucoup plus concentré. Dans “La Première Promenade”, Rousseau a, en mon avis, trois idées principales, qu’il est tout seul, que ce qui l’arrive est l’intention unanime des autres, et qu’il va utiliser ce nouveau moyen de vivre pour écrire. Et il ecrit! J’adore comment on le lit comme un vrai journal, qu’il ne l’a pas édité, et alors, on peut comprendre mieux comment ses objets des pensées pèsent dans sa tête. Par exemple, il dit sans fin comment les gens ne l’aime pas, comment c’est unanime, comment c’est coordonné, sans fin, une infinité qui dure deux pages. Et oui, il a passé à autre chose, mais c’est par ce dialogue qu’on peut bien trouver que Rousseau est bien blessé par ces faits aussi. Julius Solatorio
A mon avis les idées de far niente et l'oisiveté ne sont pas les types de philosophie que je suis en accord. Même les personnages plus âgée ont besoin d'un objectif de sa vie. Je crois que mon objectif est l'amélioration de même-moi. Car nous ne sommes pas parfait, cette objectif ne peut jamais être fini, c'est un but éternel. Jada Houston
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RépondreSupprimerJ'aime bien le fait que Rousseau relie le tourisme à la pureté d'une 'île. Il dit que "Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève" grâce à leur manque des structures synthétiques et leur manque des touristes. Je comprends d'où Rousseau vient quand il insinue que "les voyageurs" sont ceux qui détruisent la nature de l'île, volontairement ou par accident. En termes d'argent, c'est très avantageux pour une île d'avoir beaucoup de touristes chaque année; mais il faut que l'île ait la bonne équipement de base pour attirer les touristes, comme "de grandes routes commodes pour les voitures" et "de villes et de maisons," tous les choses que Rousseau déteste.
RépondreSupprimerAarti S. Badami
French Literature 215:03
Dans ce texte, Rousseau joue avec les mots pour inciter des sentiments différents dans les esprits des lecteurs. Il donne de petits impressions mais il ne révèle pas la vérité complètement. Il parle de ses expériences et ses rêves, mais on ne sait pas si les évènements sont vrai où ils sont passés dans sa tête. Cela nous donne un aperçu de ce qu'il passe dans sa tête, un sens de son expérience de sa vie. J'aime les idées dans le dernière paragraphe à page 2 où il devient un peu plus philosophique et spirituel. Il met l'accent sur la distinction dans les expériences du corps et de l'âme. J'aime beaucoup l'idée que parfois le corps peut limiter l'expérience humaine, qui peut être explorée par l'esprit.
RépondreSupprimerPriyanka Bhatt
Je crois que l'element le plus intéressant dans "La première promenade" est la fascination avec lequel Rousseau discute l'idée d'être seul. Il announce sur la premiere phrase que "Me voici donc seul sur la terre." il est evident qu'il y quelque chose très significant pour Rousseau dans séparation de l'humanité. Il dit aussi que "Tout est fini pour moi sur la terre." Je pense il est un peu bizarre qu'il y a moments dans la texte lequel Rousseau sa joie en l'absence d'autres mais il y a aussi moments, comme ça, dans lequel il exprime lamentation vers ce même fait.
RépondreSupprimerJe trouve la façon que Rousseau écrit de son âme pour être très intéressant. Dans ses mots, son âme vit sur malgré l'inactivité de son corps physique. "Mais dans ce désœuvrement du corps mon âme est encore active, elle produit encore des sentiments, des pensées, et sa vie interne et morale semble encore s'être accrue par la mort de tout intérêt terrestre et temporel.” Ce sentiment me fait aussi la question si Rousseau est juste paresseux ou s'il veut dire quelque chose plus. Quelque peu je crois que le dicton que son âme peut rester active pendant que son corps reste immobile est simplement une excuse pour être paresseux. Quand Rousseau écrit qu'il veut se libérer de son corps inutile, le ton commence à changer. Nous constatons que Rousseau devient satisfait de soi et ce ton me force à plus loin n'être pas d'accord avec son point.
RépondreSupprimerEn lissant le texte de la « Première promenade » de Jean-Jacques Rousseau, il est nécessaire de noter le ton dont il présente ses pensées. Il est raisonnable de dédire qu’il y a des moments dépriment quand il se décrit comme étant « …un monstre, un empoisonneur, un assassin », mais je trouve qu’il essaye de présenter ces idées d’une façon différente. Rousseau décrit la façon dont il perçoit son existence parmi le peuple général et je pense que c’est avec cela qu’il essaye de comprendre la personne qu’il veut être. Malgré les critiques du peuple, Rousseau se sent plus fort à cause de cela quand il décrit que « [son] cœur s’est purifiée à la coupelle de l’adversité. » En générale, les idées de Rousseau peuvent avoir plusieurs tons et j’aime que je peux avoir une idée qui est différente qu’un autre lecteur.
RépondreSupprimerEstelle Cervantes
J'ai apprécié l'idée que Roussequ trouve la tranquillité quand il est persécuté par les "directeurs" de sa destinée. Il dit que "on ne peut plus faire ni bien ni mal." Il n'est plus influencé par les détriments, mais il commence graduellement à ignorer ces détriments. Je pense que c'est parce qu'il est très seul, comme il dit que "je n'ai plus en ce monde n'ai prochain, ni semblables, ni frères." J'apprécie beaucoup de cette mentalité parce que c'est très différent entre les autres personnes, et cette très intelligent.
RépondreSupprimerCyndia
Je pense que le bonheur de Rousseau est sa séparation d'autres personnes. Ils utilisent les raffinements de leur haine à son âme. Il n'a peur d'eux. Rousseau contraste lui-même avec Dieu par la stratégie hyperbole. "Il ne me reste plus rien à espérer ni à craindre en ce monde et m'y voilà tranquille au fond de l'abîme, pauvre mortal infortuné, mais impassible comme Dieu même". Il dit ça pour souligner son calme. Il croit qu'il est seul et simple ici-bas. Il n'y a personne appartient à sa espèce. Il décrit beaucoup de sa mentalité, mais il n'y a pas de description de paysage.
RépondreSupprimerRowena
Je trouve Rousseau un peu épuisant à lire parce que ses idées sont très lourdes à mon avis. Toutefois, je respecte et j'admire comment il pense différemment aux autres gens, et j'aime qu'il sait qu'il est différent: "J'oublierai mes malheurs, mes persécuteurs, mes opprobres, en songeant au prix qu'avait mérité mon coeur". Il accepte ce fait et je pense qu'il l'embrasse. Je le trouve un peu égoïste parce qu'il se compare à Dieu: "...mais impassible comme Dieu même". Mais alors, j'aime bien quand il parle de moments. Il décrit ses pensées si élégamment, par exemple: "A peine est-il dans nos plus vives jouissances un instant où le coeur puisse véritablement nous dire: Je voudrais que cet durât toujours". Tout à fait, je trouve Jean-Jaques Rousseau très intéressant, novateur et perspicace.
RépondreSupprimerKurt Devonshire
J'aime que Rousseau parle au sujet de sa passion pour le nature. Il y a beaucoup de choses qu'il n'aime pas dans le monde - la haine, les horreurs de la race humain, et de le persécution. Pour contre les effets négatifs, Rousseau écrit dans son journal et il march dans la nature, parce que c'est calme et très different que le monde ou les gens habitent. C'est intéressant parce que je suis l'opposé. Je préfère la compagnie des autres personnes, mais je déteste la nature, alors j'ai trouvé cette histoire être une nouvelle perspective.
RépondreSupprimer- Matthew Massey
Le première promenade de Rousseau était intéressante pour moi. Il aborde de nombreux sujets philosophique et artistique que m’intéresse. Ses idées sur le isolement et la aliénation démontre l'esprit de quelqu'un dont son paranoïa a complètement lui repris. Bien que je trouve son style très dramatique et de longue haleine, il présent un point de vue unique sur les sentiment de quelqu'un contrôlée par ses émotions négatif.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe que je trouve intéressant sur la première promenade et les autres promenades ainsi était la lutte interne. Il semble Rousseau est psychologiquement divisé. Il sent le monde est contre lui et utilise la rhétorique dramatique. Il estime que le monde se termine et qu'il se sent seul sur cette terre. Sa souffrance et la paranoïa semblent l'avoir consommé. D'autre part, comme la promenade progresse, il trouve les choses qu'il aime et la tranquillité du lac de Bienne. Il semble trouver un réconfort dans la nature loin de la civilisation et de l'inhabitation humaine. Par conséquent, je pense qu'il utilise cette marche comme un moyen de concilier les deux mondes. En d'autres termes, il essaie d'internaliser ses questions et d'équilibrer ses croyances et l'idéal avec humanité et la réalité. Il veut vivre dans un monde qu'il imagine; cependant, il en vient à accepter la réalité et se rend compte qu'il peut essayer de créer un petit morceau de son monde idéal à travers la nature et la solitude. Je trouve ses contradictions pas mal, mais il montre comment il n'est pas en train d'écrire une histoire. Il montre qu'il est en train d'écrire tout ce qui vient à l'esprit en premier, sans censure, sans réfléchir. Je l'ai trouvé exceptionnel et agréable à lire.
RépondreSupprimerIoannis Lovoulos
Dans Les Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau, je trouve qu’il est un homme très intéressant. Quand je pense à "promenade de la première", je pense à quelqu'un qui essaie de donner un sens d'un monde qui est peut-être pas pour leur temps. Les idées qu'il présente sont "taboo", et c'est pourquoi il est parti seul avec son imagination. J'adore la ligne, "Je allais me jeter seul dans un bateau que je conduisais au mileu du lac", parce qu'il parle d'être seul, même après l'île où il est seul. Donc est-il plus seul?
RépondreSupprimerJe trouve “La Première Promenade” plein d’idées intéressantes et pertinentes. Cependant, je les trouve paradoxales. Rousseau explique en détail, « ses maux réels » mais dans le prochain paragraphe, il parle qu’il est « comme Dieu même.» Comment est-ce qu’on a des douleurs et aussi être un Dieu ? Une autre chose qui contredit soi-même est son assimilation de son tranquillité et de son âme. Selon de lui, par étant seul et par permettant son âme d’être libre, il peut trouve lui-même. Au même temps, il dit qu’il est seul a cause de ses persécuter qui sont réels, et pas un produit de son imagination.
RépondreSupprimerJ’aime comment tous les paradoxes me forcer de penser plus attentivement des choses dont il parle.
Dans La Première Promenade, Rousseau semble désespéré quand il parle de l'état de son âme. Son affliction le force essayer d'analyser scientifiquement son existence comme il dit: «j'appliquerai le baromètre à mon âme, et ces opérations bien dirigées et longtemps répétées se pourraient fournir des résultats aussi sûrs les leurs». Je pense que c'est intéressant parce qu'il tente de trouver un method scientifique pour son introspection bien que l'âme n'est pas quelque chose tangible. Son âme n'est pas ce qu'il peut systématiser de la même façon qu'il systématiser tout le reste comme les gens. Cela montre qu'il est très systématique et qu'il a déjà analysé son situation beaucoup.
RépondreSupprimerAu total, je crois que j’aimais “La Première Promenade” plus que l’autre. Je l’aime bien parce que, pour moi, c'était plus facile à lire mais aussi parce qu'il était beaucoup plus concentré. Dans “La Première Promenade”, Rousseau a, en mon avis, trois idées principales, qu’il est tout seul, que ce qui l’arrive est l’intention unanime des autres, et qu’il va utiliser ce nouveau moyen de vivre pour écrire. Et il ecrit! J’adore comment on le lit comme un vrai journal, qu’il ne l’a pas édité, et alors, on peut comprendre mieux comment ses objets des pensées pèsent dans sa tête. Par exemple, il dit sans fin comment les gens ne l’aime pas, comment c’est unanime, comment c’est coordonné, sans fin, une infinité qui dure deux pages. Et oui, il a passé à autre chose, mais c’est par ce dialogue qu’on peut bien trouver que Rousseau est bien blessé par ces faits aussi.
RépondreSupprimerJulius Solatorio
A mon avis les idées de far niente et l'oisiveté ne sont pas les types de philosophie que je suis en accord. Même les personnages plus âgée ont besoin d'un objectif de sa vie. Je crois que mon objectif est l'amélioration de même-moi. Car nous ne sommes pas parfait, cette objectif ne peut jamais être fini, c'est un but éternel.
RépondreSupprimerJada Houston