Je pense qu'il (le poète) avait un moment dans sa vie, quand il aimait quelqu'un et il avait eu des bons souvenirs avec son bien-aimé (« Où tu la vis s'asseoir! » - 2e strophe, 4e vers; « Sur ses pieds adorés » - 3e strophe, 4e vers). Mais, elle est morte (ou peut-être, ils ne sont pas plus ensemble) et donc, il est seul. Il visite le lac à réfléchir à son amour passé, et il est rappelé des bons moments, et de la fugacité du temps. Malgré qu'il soit seul et mélancolique, je pense qu'il est reconnaissant de son expérience d'amour et il crois comme un autre poète, Tennyson, qui dit: « Mieux vaut avoir aimé et perdu que de n'avoir jamais aimé du tout ».
<> était le premier poème français que j'ai lu. Je préfère les poèmes français que les histories français, parce qu'ils sont plus facile à lire. Je peux comprendre les poèmes un peu plus que les histories.
Ce qui m'a plu à propos de Le lac est l'utilisation de la personnification dans ce poème. Dans le poème, “le temps” est référencé par divers moyens. Je pense qu'il est le sujet principal dans le poème. Bien qu'il ait fait exprimer des pensées au sujet de son amour perdu et le lac, “le temps” est le sujet principal. Ce qui est intéressant est qu'il est presque un monologue ou une adresse à “le temps”. Lamartine nous donne ce sentiment grâce à l'utilisation de questions rhétoriques et la mention du temps lui-même comme si elle allait répondre à ses questions; " Ô temps! Suspend ton vol, et vous, heures propices!". L'utilisation de guillemets signifie un discours direct initié par Lamartine lui-même, qui, lorsqu'il est temps d'adressage, dépeint (le temps) comme une entité tangible.
《Les deux amitiés》 Au debut (1e vers à 8e vers) la poétesse utilise la rime embrassée (abba) et la rime croisée (abab). Je crois que la division du poème soit confus. Elle distingue simplement selon quelle amitié est imprudente ou sévère. Elle donne une description plus profonde pour l'amitié imprudente. C'est parce qu'elle veut accentuer l'amitié sur la jeunesse est l'amitié réelle dans son cœur. Par example, "naïve","légère" (5e vers). L'enfance ne sait pas la haine ni la trahison. Elle dit que "Dont la chaîne s'étend..."(le dernier vers de la première colonne). Les petites gens grandissent graduellement. Ils ont plus des amis. Et la distance entre eux s'éloigne ainsi. La poétesse veut dire l'amitié depuis l'adolescence est précieuse avec le temps. Elle franchit les difficultés comme la orages et les quatre saisons.
Quand je lisais ≪Les Deux Amitiés≫, il m'est rappelé tellement le poème qui s'appelle ≪A Narrow Fellow in the Grass ≫. Les deux poèmes parle de la perte d'innocence, dans des sentiments différents. En ≪Les Deux Amitiés≫, Valmore dit que quand on est né, on est ≪Bruyante, naïve, légère≫ et avec aucun de problèmes. Et puis ça, Valmore décrit l'autre amitié, qui est ≪craintif≫ et ≪timide≫ à cause de ses expériences du monde peut-être; Valmore ne précise jamais exactement quand on devient cette autre amitié. En le poème ≪A Narrow Fellow in the Grass ≫ qui a été écrit par Emily Dickinson, elle insinue que quand nous étions petits, nous sommes innocents et courageux, mais comme nous grandissons, nous apprenons d'avoir peur de beaucoup de choses. Par conséquent, nous perdons nos courageux et nous devenons craintifs de tout.
Dans « le lac » par Lamartine, je trouve que le symbolisme du temps, et sa personnification est plus évident par rapport à Valmore « Le Ver Luisant ». Les deux poèmes comptaient beaucoup sur la nature pour donner un sens aux relations, leur importance et leurs terminaisons. Je comprenais plus de Lamartine parce qu'il était direct et le vocab était un peu facile et les strophes coulait facilement. Donc, je préférais « le lac » mieux.
«Le lac» de Lamartine est très bien écrit avec plein d'aspects littéraire à analyser. J'aime beaucoup la structure et le flux de mots, je les trouve très jolis. J'aime aussi la façon dont le sentiment développe dans le poème, le début et très calme et ensuite il devient plus forte avec le commencement du discours direct. Il utilise le ponctuation pour créer un rythme qui exprime les émotions du narrateur; l'agitation, le douleur, la colère et la réminiscence. L'incorporation de l'imagerie donne à la lecteur un aperçu de l'expérience de Lamartine et on peu l'imaginer en disant ces mots dure la rive du lac...
Dans la onzième strophe du poème « Le Lac », Alphonse de Lamartine surligne l’importance des moments les plus importants de la vie. Le temps est la seule force qui control les plus merveilleux moments de la vie et les plus malheureux moments de la vie. Les humains peuvent avoir des mémoires de ces précieux moments, mais c’est le temps qui décide de l’existence de ces moments. Je trouve que cela est intéressant car les humains sont toujours poussés vers le control. Nous avons moins de stresse et nous avons moins peur quand nous avons le control de notre situation. Par contre, Lamartine surligne l’idée que nous pouvons pas contrôler l’avenir car le future n’est jamais décidé par soi-même.
Je ne suis pas poète, j’aime des histoire plus, et je crois que je l’ai lu plutôt comme une histoire qu’une poème. Je l’aime plus parce qu’ils sont, en mon avis, plus facile à comprendre. On peut mettre des détails et des raisons en vers, bien sûr, mais c’est la structure qui fait plus de difficultés que des histoires. C’était mon avis avant de lire, mais en fait, j’adore tout ce poème. Je ne crois pas que je peux heureusement décrire comment la structure me fait plaisir, mais je peux dire comment En lisant la section qui commence au trente-septième vers, j'étais frappé par ce qui est révélé. Le poète a créé sa histoire en vers et là, tout à coup, tout change. On apprends que l'autre ami est seulement comme ça pour la réconforte. On apprends comment cet amitié travaille et c’est un peu triste. C’était bien et je l’aime.
C’est un poème romantique que l’auteur a écrit pour souvenir la femme morte qui il aimait. Je peux sentir la tristesse de l’auteur par lire ce poème. Il utilise quelques phrases impératives et les apostrophes qui expriment son émotion frémissant. Il emploi le pronom « tu » pour « le lac ». Ce semble que le lac est une personne, un ami de l’auteur. Je peux sentir son humeur seul et mélancolique pour cette utilisation du pronom. Il emploi aussi les émotions humaines pour décrire quelque chose qui ne sont pas l’humain, par exemple, il dit que « Temps Jaloux ! » (La 10e strophe). Il pense que son bonheur est passé très vite parce que le temps est jaloux à lui. Aussi, la rime croisée du poème fait la facilité à prononcer et à lire.
Quand j’ai lu « Le Lac », la personnification dont Lamartine a utilisé est très évident à moi. Il exprime son rapport complètement avec la métaphore d’un lac. Je trouve que cette métaphore m’aider à comprendre sa vie parce qu’on ne doit pas ressentir la même chose exactement mais on peut encore trouver une connexion pour soi-même. Desbordes-Valmore aussi donne les caractéristiques humaines aux choses de la nature avec son ver qui a les émotions et peut parler. Ce que je trouve intéressent est la grande différence entre le ton des deux poèmes. « Le Lac » me sens un sentiment profond et je sens que je comprends un petit plus, les effets de temps. Mais « le ver luisant » est si différente de ca. Je trouve que je n’aime pas le ver et le poème ne me sent pas heureuse, en réalité, je ne sais pas le mot, mais peut être il me sent dégouté ?
J'aime le style d'écriture que Desbordes utilise dans Les Deux Amitiés. Quand elle a décrit la première des deux amitiés, elle a employé la langue plus doux et agréable comme «d'un nuage de fleurs». Le type de vocabulaire et des phrases qu'elle utilise là correspond à l'idée dans cette partie. De la même façon, le type de vocabulaire et la façon qu'elle construit les phrases dans la dernière partie du poème est similaire à l'idée qu'elle essaie d'interpreter là. La description de la deuxième amitié est plus court et austère que l'autre qui met l'accent sur les aspects de ce type d'amitié. Alors, j'aime que Desbordes utilise tous les aspects du poème pour nous aider conceptualiser ses idées.
Dans « Le Lac » Lamartine se concentre sur l'idée de temps et la façon dont il passe. Il écrit que le temps passe trop rapidement pour ceux qui sont heureux et trop lentement pour ceux qui souffrent. Dans dixième strophe, Lamartine écrit «Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse/Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur/S'envolent loin de nous de la même vitesse/Que les jours de malheur?» Lamartine utilise le temps pour souligner la joie qu'il une fois a sentie et la douleur qu'il sent maintenant. Ses souvenirs de jours plus heureux semblent le passer trop rapidement, tandis que sa douleur semble durer.
A propos de la poeme "Le Lac" j'apprecie que l'auteur personnifie le temps parce que c'est plus facile a comprendre un person qui est mechant est jalous comme l'auteur lui a decrit. Aussi j'aime que le lac est son amie car il compense le negativite du temps par la positivite du Lac. A mon avis, la personne dont l'auteur a parle qui "a un voix celeste" etait trop ambigu.
J'aime la manière Lamartine écrit Le Lac et comment il s'adresse le lac directement dans la poème en concernant son amour avec une fille peut être qui nous ne savons pas. Il utilise la personnification ici parce qu'il donne le lac importance comme s'il parle avec une autre personne plutôt qu'un lac: "Je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir." C'est comme le lac est comme un ami, et peut être dans ce cas, le lac a vu son amant... J'aime quand l'auteurs utilisent figures de rhétoriques comme ça, parce qu'il donne la vie dans la pièce.
Je pense qu'il (le poète) avait un moment dans sa vie, quand il aimait quelqu'un et il avait eu des bons souvenirs avec son bien-aimé (« Où tu la vis s'asseoir! » - 2e strophe, 4e vers; « Sur ses pieds adorés » - 3e strophe, 4e vers). Mais, elle est morte (ou peut-être, ils ne sont pas plus ensemble) et donc, il est seul. Il visite le lac à réfléchir à son amour passé, et il est rappelé des bons moments, et de la fugacité du temps. Malgré qu'il soit seul et mélancolique, je pense qu'il est reconnaissant de son expérience d'amour et il crois comme un autre poète, Tennyson, qui dit: « Mieux vaut avoir aimé et perdu que de n'avoir jamais aimé du tout ».
RépondreSupprimer- John Lee
<> était le premier poème français que j'ai lu. Je préfère les poèmes français que les histories français, parce qu'ils sont plus facile à lire. Je peux comprendre les poèmes un peu plus que les histories.
RépondreSupprimer- Matthew Massey
Ce qui m'a plu à propos de Le lac est l'utilisation de la personnification dans ce poème. Dans le poème, “le temps” est référencé par divers moyens. Je pense qu'il est le sujet principal dans le poème. Bien qu'il ait fait exprimer des pensées au sujet de son amour perdu et le lac, “le temps” est le sujet principal. Ce qui est intéressant est qu'il est presque un monologue ou une adresse à “le temps”. Lamartine nous donne ce sentiment grâce à l'utilisation de questions rhétoriques et la mention du temps lui-même comme si elle allait répondre à ses questions; " Ô temps! Suspend ton vol, et vous, heures propices!". L'utilisation de guillemets signifie un discours direct initié par Lamartine lui-même, qui, lorsqu'il est temps d'adressage, dépeint (le temps) comme une entité tangible.
RépondreSupprimerIoannis Lovoulos
《Les deux amitiés》
RépondreSupprimerAu debut (1e vers à 8e vers) la poétesse utilise la rime embrassée (abba) et la rime croisée (abab). Je crois que la division du poème soit confus. Elle distingue simplement selon quelle amitié est imprudente ou sévère. Elle donne une description plus profonde pour l'amitié imprudente. C'est parce qu'elle veut accentuer l'amitié sur la jeunesse est l'amitié réelle dans son cœur. Par example, "naïve","légère" (5e vers). L'enfance ne sait pas la haine ni la trahison. Elle dit que "Dont la chaîne s'étend..."(le dernier vers de la première colonne). Les petites gens grandissent graduellement. Ils ont plus des amis. Et la distance entre eux s'éloigne ainsi. La poétesse veut dire l'amitié depuis l'adolescence est précieuse avec le temps. Elle franchit les difficultés comme la orages et les quatre saisons.
Rowena
Quand je lisais ≪Les Deux Amitiés≫, il m'est rappelé tellement le poème qui s'appelle ≪A Narrow Fellow in the Grass ≫. Les deux poèmes parle de la perte d'innocence, dans des sentiments différents. En ≪Les Deux Amitiés≫, Valmore dit que quand on est né, on est ≪Bruyante, naïve, légère≫ et avec aucun de problèmes. Et puis ça, Valmore décrit l'autre amitié, qui est ≪craintif≫ et ≪timide≫ à cause de ses expériences du monde peut-être; Valmore ne précise jamais exactement quand on devient cette autre amitié. En le poème ≪A Narrow Fellow in the Grass ≫ qui a été écrit par Emily Dickinson, elle insinue que quand nous étions petits, nous sommes innocents et courageux, mais comme nous grandissons, nous apprenons d'avoir peur de beaucoup de choses. Par conséquent, nous perdons nos courageux et nous devenons craintifs de tout.
RépondreSupprimerAarti S. Badami
Dans « le lac » par Lamartine, je trouve que le symbolisme du temps, et sa personnification est plus évident par rapport à Valmore « Le Ver Luisant ». Les deux poèmes comptaient beaucoup sur la nature pour donner un sens aux relations, leur importance et leurs terminaisons. Je comprenais plus de Lamartine parce qu'il était direct et le vocab était un peu facile et les strophes coulait facilement. Donc, je préférais « le lac » mieux.
RépondreSupprimer«Le lac» de Lamartine est très bien écrit avec plein d'aspects littéraire à analyser. J'aime beaucoup la structure et le flux de mots, je les trouve très jolis. J'aime aussi la façon dont le sentiment développe dans le poème, le début et très calme et ensuite il devient plus forte avec le commencement du discours direct. Il utilise le ponctuation pour créer un rythme qui exprime les émotions du narrateur; l'agitation, le douleur, la colère et la réminiscence. L'incorporation de l'imagerie donne à la lecteur un aperçu de l'expérience de Lamartine et on peu l'imaginer en disant ces mots dure la rive du lac...
RépondreSupprimerDans la onzième strophe du poème « Le Lac », Alphonse de Lamartine surligne l’importance des moments les plus importants de la vie. Le temps est la seule force qui control les plus merveilleux moments de la vie et les plus malheureux moments de la vie. Les humains peuvent avoir des mémoires de ces précieux moments, mais c’est le temps qui décide de l’existence de ces moments. Je trouve que cela est intéressant car les humains sont toujours poussés vers le control. Nous avons moins de stresse et nous avons moins peur quand nous avons le control de notre situation. Par contre, Lamartine surligne l’idée que nous pouvons pas contrôler l’avenir car le future n’est jamais décidé par soi-même.
RépondreSupprimerEstelle Cervantes
Je ne suis pas poète, j’aime des histoire plus, et je crois que je l’ai lu plutôt comme une histoire qu’une poème. Je l’aime plus parce qu’ils sont, en mon avis, plus facile à comprendre. On peut mettre des détails et des raisons en vers, bien sûr, mais c’est la structure qui fait plus de difficultés que des histoires. C’était mon avis avant de lire, mais en fait, j’adore tout ce poème. Je ne crois pas que je peux heureusement décrire comment la structure me fait plaisir, mais je peux dire comment En lisant la section qui commence au trente-septième vers, j'étais frappé par ce qui est révélé. Le poète a créé sa histoire en vers et là, tout à coup, tout change. On apprends que l'autre ami est seulement comme ça pour la réconforte. On apprends comment cet amitié travaille et c’est un peu triste. C’était bien et je l’aime.
RépondreSupprimerJulius Solatorio
RépondreSupprimerC’est un poème romantique que l’auteur a écrit pour souvenir la femme morte qui il aimait. Je peux sentir la tristesse de l’auteur par lire ce poème. Il utilise quelques phrases impératives et les apostrophes qui expriment son émotion frémissant. Il emploi le pronom « tu » pour « le lac ». Ce semble que le lac est une personne, un ami de l’auteur. Je peux sentir son humeur seul et mélancolique pour cette utilisation du pronom. Il emploi aussi les émotions humaines pour décrire quelque chose qui ne sont pas l’humain, par exemple, il dit que « Temps Jaloux ! » (La 10e strophe). Il pense que son bonheur est passé très vite parce que le temps est jaloux à lui. Aussi, la rime croisée du poème fait la facilité à prononcer et à lire.
Cyndia
Quand j’ai lu « Le Lac », la personnification dont Lamartine a utilisé est très évident à moi. Il exprime son rapport complètement avec la métaphore d’un lac. Je trouve que cette métaphore m’aider à comprendre sa vie parce qu’on ne doit pas ressentir la même chose exactement mais on peut encore trouver une connexion pour soi-même.
RépondreSupprimerDesbordes-Valmore aussi donne les caractéristiques humaines aux choses de la nature avec son ver qui a les émotions et peut parler. Ce que je trouve intéressent est la grande différence entre le ton des deux poèmes. « Le Lac » me sens un sentiment profond et je sens que je comprends un petit plus, les effets de temps. Mais « le ver luisant » est si différente de ca. Je trouve que je n’aime pas le ver et le poème ne me sent pas heureuse, en réalité, je ne sais pas le mot, mais peut être il me sent dégouté ?
J'aime le style d'écriture que Desbordes utilise dans Les Deux Amitiés. Quand elle a décrit la première des deux amitiés, elle a employé la langue plus doux et agréable comme «d'un nuage de fleurs». Le type de vocabulaire et des phrases qu'elle utilise là correspond à l'idée dans cette partie. De la même façon, le type de vocabulaire et la façon qu'elle construit les phrases dans la dernière partie du poème est similaire à l'idée qu'elle essaie d'interpreter là. La description de la deuxième amitié est plus court et austère que l'autre qui met l'accent sur les aspects de ce type d'amitié. Alors, j'aime que Desbordes utilise tous les aspects du poème pour nous aider conceptualiser ses idées.
RépondreSupprimerDans « Le Lac » Lamartine se concentre sur l'idée de temps et la façon dont il passe. Il écrit que le temps passe trop rapidement pour ceux qui sont heureux et trop lentement pour ceux qui souffrent. Dans dixième strophe, Lamartine écrit «Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse/Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur/S'envolent loin de nous de la même vitesse/Que les jours de malheur?» Lamartine utilise le temps pour souligner la joie qu'il une fois a sentie et la douleur qu'il sent maintenant. Ses souvenirs de jours plus heureux semblent le passer trop rapidement, tandis que sa douleur semble durer.
RépondreSupprimerA propos de la poeme "Le Lac" j'apprecie que l'auteur personnifie le temps parce que c'est plus facile a comprendre un person qui est mechant est jalous comme l'auteur lui a decrit. Aussi j'aime que le lac est son amie car il compense le negativite du temps par la positivite du Lac. A mon avis, la personne dont l'auteur a parle qui "a un voix celeste" etait trop ambigu.
RépondreSupprimerJ'aime la manière Lamartine écrit Le Lac et comment il s'adresse le lac directement dans la poème en concernant son amour avec une fille peut être qui nous ne savons pas. Il utilise la personnification ici parce qu'il donne le lac importance comme s'il parle avec une autre personne plutôt qu'un lac: "Je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir." C'est comme le lac est comme un ami, et peut être dans ce cas, le lac a vu son amant... J'aime quand l'auteurs utilisent figures de rhétoriques comme ça, parce qu'il donne la vie dans la pièce.
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